• Barrington Levy

     

    Barrington Levy, (né le 30 avril 1964 à Kingston, capitale de la Jamaïque) est un chanteur de reggae et de rub-a-dub réputé.

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    Né le 30 avril 1964 à Kingston en Jamaïque, Barrington Levy est un chanteur de reggae qui a débuté au sein du groupe Mighty Multitudes. En 1979, à l'age de 15 ans il enregistre plusieurs hits produits par Hyman "Jah Life" Wright et Henry "Junjo" Lawes sur les riddims des Roots Radics qui sont considérés comme des morceaux précurseurs du style dancehall : Ah yah we deh, Shine eye girl, Looking my love et Collie weed.

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    Son premier album, Bounty Hunter qui parait la même année est un grand succès. Les enregistrements qui le suivent, pour le label Volcano de Junjo Lawes, pour Jah Life à New York ou pour le label Powerhouse de George Phang, installent Barrington Levy au rang de star du dancehall avant ses 20 ans.

    Après un petit passage à vide au début des années 80, il rencontre Jah Screw, producteur et ancien selecteur du SturGav sound, et enregistre le hit Under me sensi en 1984. Jah Screw reprend la carrière de Barrington Levy en main, en produisant des morceaux plus cross-over comme Here I come qui est encore aujourd'hui la chanson la plus connue aux Etats-Unis, en Angleterre et en Europe.

    En 1995, Barrington Levy renoue avec le succès dans les dancehalls avec une série de combinaisons produites par Jah Screw : il combine notamment avec Bounty Killer (Living dangerously), Cutty Ranks, Lady Saw et Spragga Benz. C'est encore une combinaison, cette fois-ci avec le rappeur Shyne, qui le ramène en 1999 sur le devant de la scène dancehall et hip-hop.

    Après 25 années de carrière, Barrington Levy est donc encore au top à tous les points de vue : il est plébiscité par les fans de roots, les plus gros sound systems passent ses morceaux et il est apprécié par de nombreux fans de hip-hop.

    Barrington Levy - Divine

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    Barrington Levy - B.L.'s Peace and Love

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    Barrington Levy - Englishman

     

    Barrington Levy - Here I come

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    Barrington Levy - Moonlight lover

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    Barrington Levy - Robin Hood


    Barrington Levy - Teach me culture

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    Barrington Levy - Too experienced


    Barrington Levy - Turning point

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  • Alton

    Ellis

    Alton Ellis est considéré en Jamaïque comme le plus grand chanteur de « soul » que le pays ait connu, jusqu’à ce que Bob Marley se révèle. Ellis commence sa carrière durant la période Ska, mais c’est au cours de la période « Rocksteady » qu’il se démarque réellement. Doux, plein d’émotions, il réalise une série de singles Ska pour le label Studio One de Clement Coxsone Dodd, mais atteint son apogée en enregistrant des titres Rocksteady pour le label Treasure Island de Duke Reid.

    Ellis nait à Kingston en Jamaïque en 1944 et grandit à Trenchtown, un secteur de cette ville. Jeune, il apprend à chanter et jouer du piano en fréquentant un centre local pour jeunes la nuit. Au début de l'adolescence, il forme le duo Alton & Eddie avec Eddie Perkins. En 1959, après avoir gagné un concours de chant, il enregistra le single Muriel, qui devint un succès important en Jamaïque. Peu après cet épisode, Perkins quitta la Jamaïque pour tenter sa chance aux États-Unis, laissant Ellis seul.

    Ellis enregistra pour Studio One au début des années 1960, mais récolta peu d’argent. Insatisfait, il quitta pour le label Treasure Island en 1965 et forma un trio de backup vocal appelé The Flames (avec son frère Leslie, mais les membres changeront plusieurs fois). Ellis sort rapidement un succès anti-violent majeur, Dance crasher, et l’année suivante, il réalise ce qui est considéré comme étant le premier titre Rocksteady, Get ready — Rock Steady.

    Son rythme innovant naquit lors d’une session ou le bassiste n’était pas présent, obligeant Jackie Mittoo à jouer la ligne de basse lui-même. La main gauche de Mitoo ne pouvant pas suivre le rythme effréné du Ska, il adapte donc un rythme plus lent. Il connait d’autres grand succès en 1966, incluant Cry tough et Girl i’ve got a date, qui devint son plus grand succès. Il réalise aussi des duos avec Phyllis Dillon ainsi qu'avec sa sœur Hortense Ellis (Breaking up is hard to do). L'album Mr. Soul of Jamaica (réédité en disque compact sous le nom Cry Tough) rassemble la plupart de ses succès pour Treasure Island.

    En 1968, Ellis retourne à Studio One, ce qui fit de lui l’un des seuls chanteurs à franchir le fossé séparant les deux ennemis jurés. La plupart de ses succès de la fin des année soixante viennent de Studio One, incluant Willow tree, I'm just a guy et Sitting in the park. En 1970, l’album Sunday coming sort: il est considéré comme l’un de ses meilleurs chez Studio One.

    Ellis fait plus tard équipe avec Lloyd Daley pendant une brève période. Cette collaboration aboutit à des titres plus rasta tels que Lord Deliver Us ou Back To Africa. Il travaille aussi avec Keith Hudson. Cependant, il ne reçoit toujours pas de réelles compensations financières pour ses succès. Déçu, il part au États-Unis et au Canada, puis en Angleterre à partir de 1973 de manière fixe.

    En Angleterre, Ellis crée son propre label, Alltone, qui est destiné à la réalisation de nouveaux enregistrements et à la sortie de compilations de ses premiers succès. Il fait un retour triomphant en Jamaïque au Reggae Sunsplash en 1983 et 1985, et enregistre un nouveau single intitulé Man From Studio One pour Dodd en 1991.


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  • Alpha & Omega

     

    Alpha & Omega se forme un peu avant 1990. Christine, à la basse / claviers et John à la batterie / melodica / claviers se rencontrent à Plymouth. Leur premier album « Daniel In The Lion’s Den » (1990), pressé en vyniles, fut trés vite écoulé et leur permit rapidement de bosser sur le deuxième.
    http://www.nizetch.fr/public/images/Mill3k/A_O_-_dub_station.JPG Le son d’Alpha & Omega, inspiré par la culture jamaicaine, le dub UK et Shaka (encore une fois !!) est, comme ils se definissent, « l’expression d’une certaine spiritualité, plus profond, un appel à la méditation ».

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  • ANDREW BEES

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    Andrew Bees (né en 1972) est un chanteur de reggae originaire de la Jamaïque.

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    Comme la plupart des chanteurs de reggae, Andrew Bees vient de Kingston, en Jamaïque. Sa carrière débute en 1986, lorsqu’il chante sur le programme populaire « Colgate Cavity Fighters ».

    Diffusée sur les ondes de la Radio Jamaica Radio-Fusion, l’émission se révèle un franc succès et a le mérite de faire connaître, au niveau national, la voix chaleureuse d’Andrew Bees.

    Sa carrière est alors lancée. Il participe au « Ghetto Bash Show » à plusieurs reprises, notamment celui de 1993, où il accompagne Bunny Wailer au chant.

    L’année suivante, sa prestation au « One Love Festival », de Negril, en Jamaïque, convainc la plupart des observateurs.

    Il tourne ensuite dans les quartiers ouest de Kingston, avec Junior Reid et plusieurs sound systems, avant de donner une autre dimension à sa carrière.

    Février 1995 marque ses débuts hors de l’île, avec un concert en Suisse, à Genève, où il assure la première partie du groupe Israël Vibration.

    S’en suit la sortie de son premier album « Militant », dont il assure la promotion en donnant des concerts aux Etats-Unis.

    En 1996, au festival de Vermont, Bees se produit aux côtés de Burning Spear, Sister Carol…Le jeune homme multiplie les prestations de qualité. Après seulement une décennie de carrière, le talent d’Andrew Bees est reconnu par tous.

    En 1997, on lui demande de devenir le chanteur principal du groupe Black Uhuru, inactif depuis que ses membres se sont séparés deux ans auparavant.

    Andrew accepte et se retrouve le lead vocal d’un des plus grands groupes de reggae.

    Son parcours se confond alors avec celui du groupe. Son premier album avec le groupe légendaire, intitulé « Unification », sort l’année suivante.

    Le groupe ne surprend plus en studio et mise sur le live pour contenter son public.

    En avril 2000, Black Uhuru part donc en tournée en Europe avec Sly & Robbie et continue à se produire dans de nombreux festivals, comme le Summer Jam, l’Essentials ou le Spring Vibration…

    En 2001, deux albums voient le jour « Dynasty », enregistré en studio et « Dubbin’It Live », enregistré au Paléo Festival.

    La voix d’Andrew Bees est toujours aussi plaisante mais en février 2004, le retour de Michael Rose au sein du groupe le pousse à poursuivre sa carrière solo. Son deuxième album, « I-Ration », produit par Walter Fraser, est sorti le 24 juillet 2006, sur le label Vizion Sounds.

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  • Baby G

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    Baby G est un chanteur de Reggae né à Schoelcher en Martinique.

    Dès l'âge de dix ans, il travaille sa voix et chante régulièrement dans l'église de sa paroisse de Tivoli.
    Il participe a de nombreux sound system de martinique lorqu'il est ado et commence a enregistrer sous le nom de 
    Baby G. toujours en Martinique.

    On le retrouve notamment sur la compilation "Dancehall Party" produite par Don Miguel. Il enregistrera aussi le titre Children of Africa pour le label Hibiscus.

    En 1995, il réalise un rêve et part en Jamaïque. Il atterrit au Mixing Lab et rencontre l'illustre Fatta Linford Marshall qui s'occupera de son tout premier album : "Hileaf", produit par le collectif martiniquais du même nom.

    Il tente ensuite l'aventure en France ou il fréquente beaucoup les sound system parisien avant d'integrer au collectif Dub Action et de se faire connaitre en participant au projet Plus de cœur égal soleil de Pierpoljak en 2000.

    Son second album H.I.M sort en 2002.

    En 2006, Baby G rejoint le collectif Black Legned Brown et chante plusieurs titres sur leur album Ebène, avec AsherSinjahman, ou King Kalabash (Big Famili). C'est également avec eux qu'il tourne sur scène. On a pu entendre Baby G sur le Poutchi RiddimBlack Marianne (Elohim) et Purple Thing (Back 2 Zion).

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    La prochaine étape est la sortie de son troisième album, qui s'annonce très éclectique ("Libre", sortie novembre 2008).


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